Tout commence donc vendredi après-midi pour un rendez-vous à Angoulême avec les Rochelais afin de faire ensemble la route jusqu’à Nontron où les mobil-home d’un camping nous attendent pour la nuit. Je prépare donc consciencieusement mon périple, check-list en main : bagages et vérifications de la machine, tout est OK … ah non, il me manque une bombe anti-crevaison et le plein de gasoline. En route, à moto bien sûr (plus facile pour faire le plein… de la moto). Chargement de la monture le temps que madame rentre du boulot, tout est prêt ! La maison est bien fermée, les casque sont attachés, on enfourche la machine, contact, … et rien !! plus de jus !! pas cool…
Là, je me dis que le week-end est mort

Le démarrage en poussant ne donne rien de concluant (pas de montée de régime, pas de lumière, et seulement 2 cylindres qui marchent).
Pour couronner le tout, beau-papa (mécanicien moto de son état) s’obstine à ne pas répondre au téléphone pour m’aider à trouver diagnostiquer la panne (on ne dira pas que je suis ingénieur en mécanique, si si je vous promets que c’est vrai…). A force, la hotline répond, on conclut à un simple défaillance de la batterie. Pas trop grave, y’a plus qu’à aller chez Dafy en chercher une… m**de déjà 19h ! on verra demain.
Et quand je pense que les potos sont déjà tous ensemble à se comparer leurs superbes engins (hein Bertrand

Le samedi matin aux aurores, me voici donc en train de remonter ma nouvelle batterie, avant de retourner à moto (qui tourne comme une horloge maintenant) chez Dafy pour faire vérifier le circuit de charge (pas envie de me retrouver en rade un dimanche matin au fin fond de la dordogne). Tout est OK, on donc le temps de retrouver la bande de malades directement à la ferme-auberge pour le repas du samedi midi…
On a donc juste raté le début du parcours mais quel bonheur de revoir (ou de rencontrer pour la première fois) tout le monde autour d’une table. Et quelle table ! Rillettes de canard, confit maison, pommes de terre sarladaises, fraises du jardin…hmmm !!


