Retour d'expérience GPS Tripy
Posté : mer. 9 sept. 2009 00:23
N'étant pas pleinement satisfait de mon Garmin Zumo 550 (spécialisé en guidage dans les chemins de terre et autres cours de ferme), j'ai profité d'un retour au plat pays qui est le mien pour louer et essayer un appareil (fabrication belge) qui avait déjà attiré mon attention dans le passé, et qui a déjà été évoqué sur le forum précédemment(topic choix de GPS): Le raodmaster de Tripy.
La grande nouveauté, c'est que là ou l'ancien Tripy se contait de 'dérouler' le roadbook élaboré par l'utilisateur à l'aide du logiciel fourni Roadtracer, le Tripy 2 peut lire les roadbooks, mais aussi en calculer lui-même grâce à sa cartographie intégrée. Outre l'option traditionnelle "chemin le plus court" ou "chemin le plus rapide", le GPS propose également un guidage par les routes touristiques.
Dans mon cas, j'avais donc loué le Tripy2 pour la journée, et le loueur m'avait élaboré un roadbook avec la fonction guidage par les routes touristiques, donc sans utilisation du logiciel. Par a suite, il m'a fait une démo du logiciel et de la marche à suivre pour le traçage des roadbook.
A l'issue d'un roulage + de 200 km du coté des trois frontières (Belgique germanophone/Allemagne/Luxembourg), voici mes impressions brut de fonderie: Le grand point positif, c'est la guidage au boule-flèche, intersection par intersection.
La précision de localisation est excellente, donc presque impossible de louper une intersection. Point important, car sur les gps en couleur, je suis souvent distrait par les nombreuses infos présentes à l'affichage et l'affichage des directions est parfois ambigu. Autre point important l'autonomie: Le GPS annonce 15 à 20h d'autonomie pour une charge de 3 heures, ce qui évite de devoir installer une alimentation sur la moto. Durant le test qui a duré 7 heures, la batterie s'annonçait à moitié pleine en fin de parcours, donc les indications fournies par le fabricant semblent réalistes.
L'autre point sympa, c'est le guide au compas, une fois que l'on s'éloigne trop de l'itinéraire (on va dire que j'ai fait exprès de me paumer). Ce guidage indique le nombre de kilomètre qui nous sépare du prochain point de passage et le cap à suivre, pour ceux qui n'aiment pas suivre un roadbook à la lettre (esprit motard rebelle quand tu nous tiens), c'est vraiment le pied de pouvoir naviguer à l'instinct.
Autre point intéressant sur des routes inconnues, la flèche 'sniffeuse' et le schéma de la route empruntée.
La sniffeuse Kesako ? C'est une petite flèche située en haut à droite de l'écran qui permet de savoir si la route va tourner à gauche ou à droite au prochain virage. Le schéma de la route empruntée vient compléter cette information, car il affiche la trajectoire à suivre pour rester sur la route, précision qui se révèle utile sur des routes très sinueuses par forcément bien pourvues en panneaux indicateurs.
Au niveau des points négatifs, je note que la machine omet parfois d'indiquer certains boules flèches qui seraient utiles pour éviter certaines hésitations dans des villages ou à des intersections difficiles (ex:pas de panneaux), donc un repèrage préalable est toujours nécessaire pour avoir un roadbook au petits oignons. Aussi non, l'inconvénient majeur est la prix, avec un tarif affiché à € 548 pour la version France et € 648 pour la version Europe, donc c'est dans la même gamme que le zumo, mais bon faut quand même les sortir. Plus de précisions sur http://www.tripy.be
La grande nouveauté, c'est que là ou l'ancien Tripy se contait de 'dérouler' le roadbook élaboré par l'utilisateur à l'aide du logiciel fourni Roadtracer, le Tripy 2 peut lire les roadbooks, mais aussi en calculer lui-même grâce à sa cartographie intégrée. Outre l'option traditionnelle "chemin le plus court" ou "chemin le plus rapide", le GPS propose également un guidage par les routes touristiques.
Dans mon cas, j'avais donc loué le Tripy2 pour la journée, et le loueur m'avait élaboré un roadbook avec la fonction guidage par les routes touristiques, donc sans utilisation du logiciel. Par a suite, il m'a fait une démo du logiciel et de la marche à suivre pour le traçage des roadbook.
A l'issue d'un roulage + de 200 km du coté des trois frontières (Belgique germanophone/Allemagne/Luxembourg), voici mes impressions brut de fonderie: Le grand point positif, c'est la guidage au boule-flèche, intersection par intersection.
La précision de localisation est excellente, donc presque impossible de louper une intersection. Point important, car sur les gps en couleur, je suis souvent distrait par les nombreuses infos présentes à l'affichage et l'affichage des directions est parfois ambigu. Autre point important l'autonomie: Le GPS annonce 15 à 20h d'autonomie pour une charge de 3 heures, ce qui évite de devoir installer une alimentation sur la moto. Durant le test qui a duré 7 heures, la batterie s'annonçait à moitié pleine en fin de parcours, donc les indications fournies par le fabricant semblent réalistes.
L'autre point sympa, c'est le guide au compas, une fois que l'on s'éloigne trop de l'itinéraire (on va dire que j'ai fait exprès de me paumer). Ce guidage indique le nombre de kilomètre qui nous sépare du prochain point de passage et le cap à suivre, pour ceux qui n'aiment pas suivre un roadbook à la lettre (esprit motard rebelle quand tu nous tiens), c'est vraiment le pied de pouvoir naviguer à l'instinct.
Autre point intéressant sur des routes inconnues, la flèche 'sniffeuse' et le schéma de la route empruntée.
La sniffeuse Kesako ? C'est une petite flèche située en haut à droite de l'écran qui permet de savoir si la route va tourner à gauche ou à droite au prochain virage. Le schéma de la route empruntée vient compléter cette information, car il affiche la trajectoire à suivre pour rester sur la route, précision qui se révèle utile sur des routes très sinueuses par forcément bien pourvues en panneaux indicateurs.
Au niveau des points négatifs, je note que la machine omet parfois d'indiquer certains boules flèches qui seraient utiles pour éviter certaines hésitations dans des villages ou à des intersections difficiles (ex:pas de panneaux), donc un repèrage préalable est toujours nécessaire pour avoir un roadbook au petits oignons. Aussi non, l'inconvénient majeur est la prix, avec un tarif affiché à € 548 pour la version France et € 648 pour la version Europe, donc c'est dans la même gamme que le zumo, mais bon faut quand même les sortir. Plus de précisions sur http://www.tripy.be