Alors l'Italie, déjà, ça faisait plus de 30 ans que je n'y étais pas retourné, après 2 séjours en vacances d'été.
Les autoroutes d'abord: entre Vintimille et Gênes, une route assez perturbante, car 3 voies, mais 3 voies étroites et sans voie de secours. Un dimanche soir, avec pléthore de turinois tous plus pressés les uns que les autres de rentrer à la maison après un week-end sur la côte. Toujours un peu stressé de conduire une italienne qui va nécessairement se montrer un jour capricieuse, je me demandais bien comment gérer la situation en cas de panne. En fait, après quelques heures sur ce tronçon, je n'ai toujours pas trouvé de solution. Donc warnings, et prière à Santa Maria en attendant la dépanneuse (en espérant que le dépanneur parle français).
Autoroute toujours: bon, les limites à 110, c'est plutôt 130 voire 140 en pratique par la plupart des autochtones, et les trajectoires quelques fois hasardeuses (genre petit zig zag en virage sur un joint de dilatation de la route,, ...)
Autoroute encore: quand quelqu'un est sur la voie de gauche et qu'il ne roule qu'à 120 pour 110 autorisé, il faut se placer 2 mètres derrière lui, et ne pas hésiter à le doubler par la droite si ça s'éternise, quitte à le frôler voire même lui faire une petite queue de poisson.
Je suis épaté par le nombre de BMW, Audi, Mercedes et Porsche, lancées à un bon 160 sur l'autoroute.
Par le nombre de camions aussi, des files ininterrompues sur plusieurs kilomètres.
Je suis pour l'instant le seul motard sur Aprilia, alors qu'elle est retournée dans son pays d'origine. Je n'ai vu que des BMW 1200 GS, des Harley et des japonaises. Et une Guzzi. Et deux Ducati...
Et enfin, les paiements par carte sur les autoroutes: deux fois de suite, je paie, gros message écrit en rouge qui dit tarjeta non legibile, et pourtant la barrière se lève je ne sais pas pourquoi.
Dernier retour, je voyage à moto, ma moitié, et de la famille, en BAR. Et donc le prix de l'autoroute est le même entre moto et voiture. Ou il y a une règle que je n'ai pas comprise...
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