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Expérience des longs trajets/longues balades
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- P'tit nouveau / P'tite nouvelle
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Expérience des longs trajets/longues balades
Pour rebondir sur différents messages du sujet de Sebastien_Demon (http://cbf600.free.fr/viewtopic.php?t=7740&highlight=) quant à faire un long trajet/balade (km, temps, expérience, veçu...), sans doute est-il nécessaire à chacun de faire part de son expérience.
De plus, c'est à travers ces posts que l'on apprécie des aventurier(e)s au long court, qui n'ont pas pas eu froid au yeux pour faire des longues au guidon de leur 125...il y a pas si longtemps que ça !
Quelle a été votre plus grand périple ? Km max/jour au total sur plusieurs jours ?
Etiez-vous seul ou plusieurs?
Quelle était votre expérience ? Jeune permis, années d'expérience?
Quelles ont été vos galères?
Quels ont été vos meilleurs souvenirs?
Le feriez-vous à nouveau si c'était à refaire?
Partageons la route...partageons nos expériences.
De plus, c'est à travers ces posts que l'on apprécie des aventurier(e)s au long court, qui n'ont pas pas eu froid au yeux pour faire des longues au guidon de leur 125...il y a pas si longtemps que ça !
Quelle a été votre plus grand périple ? Km max/jour au total sur plusieurs jours ?
Etiez-vous seul ou plusieurs?
Quelle était votre expérience ? Jeune permis, années d'expérience?
Quelles ont été vos galères?
Quels ont été vos meilleurs souvenirs?
Le feriez-vous à nouveau si c'était à refaire?
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Bulle d'Air au boulot !
Si vous m'avez compris, c'est que je me suis mal exprimé !
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- Sousou
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le RDVM parisien du mois de mars...
900 Kms entre le samedi matin 7h et le dimanche soir 20h30...
l'aller avec Bart, balade avec les membres du forum, retour en solo...
j'ai 15 mois de permis mais 9 mois où je n'ai pas pratiqué...
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- baptiste
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800km Paris -> Bayonne puis le retour 3 jours plus tard. Environ 10h de trajet à chaque fois parce que beaucoup de pauses (glaglagla). Pas de pluie rencontrée. Voie rapide/autoroute (N118+A10, puis l'inverse).
Passé les 600km, le dos demande le repos, les yeux aussi. En fait, j'ai la même limite en voiture. L'arrivée de nuit (les deux fois) est un supplice avec la fatigue cumulée. Mieux vaut faire l'inverse : démarrer de nuit. Après faut calculer le coup de la circulation à l'arrivée en IdF.
L'autre chose pénible a été les dépassements de camions. Je ne sais pas si c'est du à ma taille, mais je devais "calculer" chaque dépassement : arrivée à hauteur de la cabine, "pousser" vers la droite pour compenser la claque d'air qui m'arrivait sur la tronche.
J'avais le permis depuis une semaine. Ca serait sans doute plus facile aujourd'hui passé quelques mois.
Passé les 600km, le dos demande le repos, les yeux aussi. En fait, j'ai la même limite en voiture. L'arrivée de nuit (les deux fois) est un supplice avec la fatigue cumulée. Mieux vaut faire l'inverse : démarrer de nuit. Après faut calculer le coup de la circulation à l'arrivée en IdF.
L'autre chose pénible a été les dépassements de camions. Je ne sais pas si c'est du à ma taille, mais je devais "calculer" chaque dépassement : arrivée à hauteur de la cabine, "pousser" vers la droite pour compenser la claque d'air qui m'arrivait sur la tronche.
J'avais le permis depuis une semaine. Ca serait sans doute plus facile aujourd'hui passé quelques mois.
1290SAR <- R1200GSA <- CBF1000 <- CBF600S
Viendez à la CASIM 78 ! ! ! (ou une autre : 33, 44, 49, 77, ...)
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- jean-michmuch
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La plus grande virée : aller retour Paris-Le Mans en 1 WE avec ma chère et tendre après 4 mois de permis (chacun sa bécane).
Allure tranquille (entre 130 et 140) et pauses régulières. On a eu la chance d'une météo clémente.
Hormis une circulation assez dense au retour, un super WE, on remet ça cette année en partant dès le vendredi. Avis aux membres du fofo qui seront là bas cette année !
Allure tranquille (entre 130 et 140) et pauses régulières. On a eu la chance d'une météo clémente.
Hormis une circulation assez dense au retour, un super WE, on remet ça cette année en partant dès le vendredi. Avis aux membres du fofo qui seront là bas cette année !
600 CBF N ABS gris bi-ton 01/2007 et...QUE DU BONHEUR AVEC !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Roule cool, t'iras loin !
jean-michmuch, 2007
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- mezana
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Une descente Tours Marseille avec le gel au épart, j'étais frigorifié......Arrivé vers le massif central, de la neige sur l'autoroute......Les gens à la station essence me regardait comme un extra-terrestre......Puis arrivé dans vallée du Rhône, un mistral de feu de dieu m'obligeant à faire des écarts de plus d'un mètre..........Arrivé à Marseille, la tempête en mer.....Je n'ai pas dormi sur le bateau tellement ça bougeait......Puis en longeant les côtes de Corse de la neige sur les hauteurs de Bastia, chose rare.........
Téléphone au Pc neige, pour savoir si le col de Vizzavona était bloqué....On me dit que ça passe en voiture.....Mais en moto? Vous pouvez toujours essayer...........Je suis passé juste avec du verglas et la neige qui commençait à tomber drue.........Je n'était pas fâché d'arriver à bon port, complètement cassé.
Téléphone au Pc neige, pour savoir si le col de Vizzavona était bloqué....On me dit que ça passe en voiture.....Mais en moto? Vous pouvez toujours essayer...........Je suis passé juste avec du verglas et la neige qui commençait à tomber drue.........Je n'était pas fâché d'arriver à bon port, complètement cassé.
cwriik......critch....critch
blog sur ma musique par ici
Bienheureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière (M. AUDIARD)
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350km d'une seule traite pour rejoindre Douarnenez (et retour)
310km d'une seule traite pour rejoindre Lannion (et retour)
+ divers trajets du genre : Noirmoutier / Ile de Ré etc...
700km en 2jours pour une balade dans les Alpes Mancelles
et bientôt ...
Descente en Corse avec 1 étape au Puy en Velay après un peu plus de 500km (8h d'après viamichelin) et le lendemain matin re-décollage direction Toulon soit environ 900km en tout à avaler pour être à l'heure au ferries ! Tout ça sans compter le roulage là bas et le retour !
310km d'une seule traite pour rejoindre Lannion (et retour)
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- mitchdans
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en gros cube, j'ai pas encore eu l'occasion de faire de long trajet. mais je compte bien y remédier.
en vespa, j'ai a mon actif deux "périples" mémorables avec deux potes :
- un tour de corse (été 2006), avec au compteur mille bornes en cinq jours de "roulage"
- la route des grandes alpes entre menton et thonon (été 2007), soit plus de 1500km avec tous les cols au programme, dont la route la plus haute d'europe (col de la bonnette).
dans les deux cas, nous sommes partis à trois, avec armes et bagages. les bagages étaient des sacs contenant le minimum vital (vetements notamment chauds et imperméables, nécessaire de toilette). les "armes" : trousse a pharma pour les pilotes et trousse a outils pour les machines. pour la vespa, j'avais prévu de quoi réparer la plupart des pannes courantes (cables, bougie, clés, pinces).
on faisait en moyenne 200km par jour, avec une ridicule moyenne de 30km/h. il faut dire que nos engins dépassaient difficilement cette vitesse dans les cols, et que nous n'avons pas boudé les pauses (photo, apéros, siestes...)
durant ces deux voyages, nous avons pas eu de grosse galère. seul le pote en dax (honda !) a du resserrer son carbu qui était en train de se barrer en corse, et a été contraint de faire de nombreuses pauses pour laisser refroidir son gros mono de 72cc. quand a moi, j'ai eu un desserrage de la direction de la vespa, problème réparé avec un tournevis sur lequel on tapait avec un gros galet...
au final, ca reste deux superbes souvenirs, et même les arrêts bricolage étaient sympas. je me souviens de la montée du col de l'iseran. on est arrivés au sommet vers 17 heures. il faisait 3° et un vent a décorner les vaches. nous étions gelés en plein mois de juillet. on a bu un coup d'antigel au refuge, et on a foncé vers la vallée pour retrouver une température estivale. a noter qu'au sommet, nos vieilles brêles n'avaient plus de ralenti a cause de la faible pression atmo !
en vespa, j'ai a mon actif deux "périples" mémorables avec deux potes :
- un tour de corse (été 2006), avec au compteur mille bornes en cinq jours de "roulage"
- la route des grandes alpes entre menton et thonon (été 2007), soit plus de 1500km avec tous les cols au programme, dont la route la plus haute d'europe (col de la bonnette).
dans les deux cas, nous sommes partis à trois, avec armes et bagages. les bagages étaient des sacs contenant le minimum vital (vetements notamment chauds et imperméables, nécessaire de toilette). les "armes" : trousse a pharma pour les pilotes et trousse a outils pour les machines. pour la vespa, j'avais prévu de quoi réparer la plupart des pannes courantes (cables, bougie, clés, pinces).
on faisait en moyenne 200km par jour, avec une ridicule moyenne de 30km/h. il faut dire que nos engins dépassaient difficilement cette vitesse dans les cols, et que nous n'avons pas boudé les pauses (photo, apéros, siestes...)
durant ces deux voyages, nous avons pas eu de grosse galère. seul le pote en dax (honda !) a du resserrer son carbu qui était en train de se barrer en corse, et a été contraint de faire de nombreuses pauses pour laisser refroidir son gros mono de 72cc. quand a moi, j'ai eu un desserrage de la direction de la vespa, problème réparé avec un tournevis sur lequel on tapait avec un gros galet...
au final, ca reste deux superbes souvenirs, et même les arrêts bricolage étaient sympas. je me souviens de la montée du col de l'iseran. on est arrivés au sommet vers 17 heures. il faisait 3° et un vent a décorner les vaches. nous étions gelés en plein mois de juillet. on a bu un coup d'antigel au refuge, et on a foncé vers la vallée pour retrouver une température estivale. a noter qu'au sommet, nos vieilles brêles n'avaient plus de ralenti a cause de la faible pression atmo !
- trus
- Superstar !!!
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- Contact :
A l'époque où j'avais ma Vara125, plusieurs voyages toujours en duo avec mon épouse :
Bayonne-Millau et retour en 3 jours, Bayonne-Tarragone et retour en 3 jours aussi, Bayonne-Super Besse et retour en 3 jours aussi. A chaque fois, la distance totale avoisine les 1500 bornes si l'on rajoute la journée du milieu où l'on a aussi roulé, sinon pourquoi y serait-on allés ?
Depuis que j'ai la CBF, des "tournées balades" de 500 bornes, à l'arrachée sans prévoir, sont monnaies courantes, hiver comme été.
Notre plus longue distance dans la journée fut Cavaillon-Bayonne, l'été dernier, soit 680 kms, toujours en duo et moto chargée (top case, valises et sacoche de réservoir), dernière étape d'un périple de 3000 bornes (un petit peu plus, même) en une semaine.
Notre voyage sur longue distance le plus dur fut l'an dernier, pour le week-end du 1er mai Tarragone-Bayonne (avec la CBF600) sous la pluie tout le long du parcours (550kms) avec même un épisode neigeux en passant les Pyrénées au tunnel de Vielha (10 cms d'épaisseur sur les bords de la route).
Il faut se dire que c'est tout à fait faisable, à la condition de bien se sentir sur la moto, de ne pas chercher à dépasser ses limites et, s'il s'agit d'une longue étape de ne pas la terminer (dans la mesure du possible) par un final la nuit,où ça peut devenir beaucoup plus difficile qu'on ne l'imagine.
Il faut s'astreindre à des arrêts périodiques pour se dégourdir les papattes, enlever le casque, respirer un bon coup d'air frais et faire un peu de gym pour soulager les tensions du corps. Partant de là, on peut aller loin et bien (même avec des conditions plus difficiles si l'on est bien équipé).
J'ai en préparation pour l'été prochain :
Bayonne - Toulon - Gérarmer - Strasbourg - Nogent sur Seine - Tours - Bayonne sur 2 semaines, toujours en duo et en quasi autonomie.
Sans compter les petites babioles de quartier (RDVA, Périgord, Bretagne ...)
Bayonne-Millau et retour en 3 jours, Bayonne-Tarragone et retour en 3 jours aussi, Bayonne-Super Besse et retour en 3 jours aussi. A chaque fois, la distance totale avoisine les 1500 bornes si l'on rajoute la journée du milieu où l'on a aussi roulé, sinon pourquoi y serait-on allés ?
Depuis que j'ai la CBF, des "tournées balades" de 500 bornes, à l'arrachée sans prévoir, sont monnaies courantes, hiver comme été.
Notre plus longue distance dans la journée fut Cavaillon-Bayonne, l'été dernier, soit 680 kms, toujours en duo et moto chargée (top case, valises et sacoche de réservoir), dernière étape d'un périple de 3000 bornes (un petit peu plus, même) en une semaine.
Notre voyage sur longue distance le plus dur fut l'an dernier, pour le week-end du 1er mai Tarragone-Bayonne (avec la CBF600) sous la pluie tout le long du parcours (550kms) avec même un épisode neigeux en passant les Pyrénées au tunnel de Vielha (10 cms d'épaisseur sur les bords de la route).
Il faut se dire que c'est tout à fait faisable, à la condition de bien se sentir sur la moto, de ne pas chercher à dépasser ses limites et, s'il s'agit d'une longue étape de ne pas la terminer (dans la mesure du possible) par un final la nuit,où ça peut devenir beaucoup plus difficile qu'on ne l'imagine.
Il faut s'astreindre à des arrêts périodiques pour se dégourdir les papattes, enlever le casque, respirer un bon coup d'air frais et faire un peu de gym pour soulager les tensions du corps. Partant de là, on peut aller loin et bien (même avec des conditions plus difficiles si l'on est bien équipé).
J'ai en préparation pour l'été prochain :
Bayonne - Toulon - Gérarmer - Strasbourg - Nogent sur Seine - Tours - Bayonne sur 2 semaines, toujours en duo et en quasi autonomie.
Sans compter les petites babioles de quartier (RDVA, Périgord, Bretagne ...)
- Toinou
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Pour ma part, mon plus long periple, un tour de France effectué avec mon camarde de Jeu "The Fisheye" du 1er au 15 septembre 2007.
5000 kilometres sous le beau temps. Pratiquement pas une goutte de pluie. Sauf le dernier jour en quittant la Bretagne, mais un tout petit crachin breton, histoire de dire qu'on a eu un peu de pluie.
Ca fait un peu plus de 300 kilometres par jour, la plus courte 130 bornes, la plus longue 450, je crois.
Pas de soucis technique, juste une ampoule qui a laché pour Fish. Moi, rien. Pas un probleme. Vraiment bien une CBF.

Sinon, je suis descendu pour une balade l'annee derniere dans les gorges du Verdon organisée par Pat84. 2000 bornes sur tout un week-end.
Mercredi 16 Mai: Descente Maurepas (78) - Saint-Etienne (42) par les petites routes, le reste jusqu'a Aix par Autoroute.
Jeudi 17 mai: Balade de 450 kilometres autour du Verdon.
Vendredi 18 mai: encore balade avec Pat84 et Nat
Samedi 19 mai: retour via la N75
accompagné par Pat84 jusqu'a Grenoble, puis retour par autoroute.
Pas eu de problemes non plus, sauf l'aller vraiment ou je me suis pris un mur d'eau pendant 200 kilometres. Me suis meme pas arreté tellement j'etais trempé, et puis je preferais arriver.
Je pense sincerement qu'il faut faire ce genre d'experiences et de voyages.
Nous avons la chance de vivre dans un pays magnifique.
Mes projets a venir:
- M'incruster a un RDVM PACA, mais je sais pas quand
- les Pyrenees
- La Corse, mais plus tard...
5000 kilometres sous le beau temps. Pratiquement pas une goutte de pluie. Sauf le dernier jour en quittant la Bretagne, mais un tout petit crachin breton, histoire de dire qu'on a eu un peu de pluie.
Ca fait un peu plus de 300 kilometres par jour, la plus courte 130 bornes, la plus longue 450, je crois.
Pas de soucis technique, juste une ampoule qui a laché pour Fish. Moi, rien. Pas un probleme. Vraiment bien une CBF.


Sinon, je suis descendu pour une balade l'annee derniere dans les gorges du Verdon organisée par Pat84. 2000 bornes sur tout un week-end.
Mercredi 16 Mai: Descente Maurepas (78) - Saint-Etienne (42) par les petites routes, le reste jusqu'a Aix par Autoroute.
Jeudi 17 mai: Balade de 450 kilometres autour du Verdon.
Vendredi 18 mai: encore balade avec Pat84 et Nat
Samedi 19 mai: retour via la N75

Pas eu de problemes non plus, sauf l'aller vraiment ou je me suis pris un mur d'eau pendant 200 kilometres. Me suis meme pas arreté tellement j'etais trempé, et puis je preferais arriver.
Je pense sincerement qu'il faut faire ce genre d'experiences et de voyages.
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- Sousou
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Toinou a écrit : Mes projets a venir:
- M'incruster a un RDVM PACA, mais je sais pas quand
- les Pyrenees
- La Corse, mais plus tard...
arrête toi à Poitiers, tu risques de trouver un compagnon de route!!!!

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sarazin 2 a écrit :Depart Le vieux port a 8Heures arrive maison 13 Heures. Il etait fou a l epoque.

excellent!

Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. (Fontenelle)
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- trus
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Toinou, Sousou, je vous compte bien en passage ici dans le projet pyrénéen... sinon, sinon .... ben tant pis ...Sousou a écrit :Toinou a écrit : Mes projets a venir:
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Et c'est parti pour le récit de mes aventures 
(prévoir 3h pour la lecture
; ) (j'suis parfois un peu bavarde
)
Mon premier long trajet en moto, c'était avec mon DTR 125 (un tit trail 2 temps equipé supermot') que j'avais depuis à peine 15j, en solo. Paris Dijon par la route, que la route, en 8h. C'est là que j'ai appris que la moto c'est plus fatigant que la voiture, qu'un sac à dos c'est lourd à la longue, qu'il faut toutjours prendre l'autoroute pour quitter Paris, et qu'une autonomie de 100km c'est un peu juste... Au retour je suis partie avec un bidon d'essence, et j'ai pris l'autoroute de fontainebleau à paris. Les bons souvenirs: mes discutions avec les différentes personnes rencontrées lors de mes arrets. Les points mémorables: les voitures qui me doublent sans laisser d'espace, l'arrivée à Dijon quand j'ai du me laisser tomber de la moto pour descendre, par manque de muscles
A noter aussi que la moto ne prenait plus ses tours à l'arrivée, manifestement suite à une fuite à l'échapement, vu que j'ai perdu mon silencieux le lendemain matin en la forçant un peu
Un autre souvenir avec le 125, sur un petit trajet cette fois-ci, Paris Vernon par la route. En plein été, visière ouverte à la traversée de Bonnières, une guepe est venue visiter l'intérieur de mon casque
. Arret d'urgence les yeux fermés, et otage de casque en douceur. Plus de peur que de mal, mais à chaque fois que je repasse sur cette route j'y repense
Mon premier trajet hors de Paris en gros cube, début janvier avec mon CB500 acheté mi décembre, Paris Dijon par la route en solo (sortie de Paris par autoroute, je la ferais pas 2 fois celle-là!). 5h30, c'est mieux. Rien à noter sur l'aller, à part que c'est sur la N6 que j'ai appris à passer sur réserve en roulant. La BAR qui me suivait doit encore s'en souvenir!
Par contre retour sous la flotte, avec à peine plus de 0°, sur l'autoroute, mémorable! Changement de gants toutes les 100 bornes, les trempés étant accrochés à mon blouson et flottant derrière moi
Je me rappelle bien les pauses café sur les aires de repos, avec 2 paires de gants sur le silencieux, pour les réchauffer un peu. Ca a bien fait rire un routier, qui par ailleurs s'est proposé de me laisser son numéro de tel, un pote à lui avait plein de pieces pour CB 500 en RP. Sympas les routiers, m'ont offert le café
Mon premier long trajet en moto, 6 mois plus tard, Paris Soulac par Bordeaux, 700km en solo (3/4 route, 1/4 autoroute), mais sans bagages. J'avais juste avec moi: le kit de réparation pneus, un pull, un change et ma trousse de toilette (s'il fallait que je dorme sur la route), un paquet de clopes, une bouteille d'eau et 3 gateaux. Là j'ai fait des expériences. La route bouchée par des travaux de coupe d'arbres, passage entre la machine et les arbres. La panne d'essence à 150 en 6eme sur une 4 voies, et comme mon compteur indiquait seulement 170 km je suis partie sur une procédure de recherche de panne, à m'orienter sur un éventuel changement de bougies sur le bord de la route, avant de tenter un passage sur réserve (plutot efficace il faut le dire), rejoindre Angouleme puis me retrouver à la recherche d'une station essence dans les quartiers résidentiels (
), tomber dans une brasserie remplie de gars des chantiers avoisinant qui se proposent de pousser la moto jusqu'à la prochaine station essence... c'était comique. J'ai appris au passage qu'à 170 sur l'autoroute, ben ça consomme un peu... Et la pause de 20mn à 19km du but, parce que j'étais trop fatiguée pour faire 100m de plus, ça aussi ça valait le détour.
Pour le retour en direction de Dijon, j'ai opté pour passage par le Bac jusqu'à Royan, et trajet en 2 jours pour Dijon (800km), cette fois moto chargée (sacoche de reservoir, sacoches cavalières et sac à dos sanglé sur la selle passager). Points remarquables: le bac, où j'ai du rester à coté de la moto, comme ils n'avaient rien pour l'attacher, j'ai découvert que j'avais pas franchement le pied marin...
C'est la moto qui m'a soutenue pour regagner la terre ferme (l'était cool pour ça Flamme Bike). Y'a eu aussi l'arret dans un resto de la chaine les Routiers, où j'ai très bien mangé pour pas cher, mais où il a fallu que je me batte pour ne pas boire d'alcool (j'en vois qui se marrent...
). La recherche d'un hotel dans une ville inconnue était aussi assez sympa..
Depuis y'a eu pas mal de trajets de plus de 300km, avec moins d'apprentissages, à force on commence à en avoir vu pas mal. Y'a quand meme eu, en rentrant de Vendée, entre Tours et Chartres, un fort vent de travers. Avec Flamme Bike chargée, en solo, je faisais de écarts de 2 à 3 m en roulant à 60 km/h. J'ai fini par m'arreter, et commençais à réfléchir à un autre moyen pour rentrer à Paris, quitte à revenir chercher la moto plus tard. C'est là que j'ai pensé à démonter le saute-vent. Efficace, le vent prenait appui dessus, après je ne faisais plus que des écarts d'1m environs, c'était gérable.
Et y'a aussi eu un Dijon Paris par la route avec Flamme Bike, en solo, 35° à l'ombre. Ca aussi c'était sympa
Pauses toutes les heures, pour boire , mouiller le t shirt et aller aux toilettes (évidemment...). Le plus sympa c'était l'arrivée sur la N104, avec les orage de ce début d'été 2006. On y voyait pas à 3m, et y'avait 10cm d'eau sur la route! Pas moyen de remonter les files dans ces conditions
Arrivée sur l'A6, fort vent de travers, écarts importants, réduction de la vitesse et remontées de files proscrites aussi. Puis à peine arrivée sur le périf, de nouveau des pluies torrentielles. J'avais plus trop chaud, mais j'étais trempée jusqu'aux os, ce jour là j'étais bien contente d'arriver! N'empeche que quand j'y pense ça me fait sourire, j'en garde de bons souvenirs, surtout la discussion avec un agent des autoroutes en arrivant sur l'A5. "ouh, on dirait qu'il va pleuvoir là, ça va pas etre drole en moto" - "meme pas peur, ça va rafraichir un peu, je préfère". En y réfléchissant, c'était bien aussi les 35° sous le soleil...
Trajets prévus cette année: Tourist Trophy et Italie du Nord (avec les Alpes
).
En prévision pour plus tard: Ecosse, Corse, Pyrénées, Ardeche, ...
Et toujours des allers retours Dijon, Honfleur, et Cherbourg, mais je commence à etre rodée sur ces trajets

(prévoir 3h pour la lecture


Mon premier long trajet en moto, c'était avec mon DTR 125 (un tit trail 2 temps equipé supermot') que j'avais depuis à peine 15j, en solo. Paris Dijon par la route, que la route, en 8h. C'est là que j'ai appris que la moto c'est plus fatigant que la voiture, qu'un sac à dos c'est lourd à la longue, qu'il faut toutjours prendre l'autoroute pour quitter Paris, et qu'une autonomie de 100km c'est un peu juste... Au retour je suis partie avec un bidon d'essence, et j'ai pris l'autoroute de fontainebleau à paris. Les bons souvenirs: mes discutions avec les différentes personnes rencontrées lors de mes arrets. Les points mémorables: les voitures qui me doublent sans laisser d'espace, l'arrivée à Dijon quand j'ai du me laisser tomber de la moto pour descendre, par manque de muscles


Un autre souvenir avec le 125, sur un petit trajet cette fois-ci, Paris Vernon par la route. En plein été, visière ouverte à la traversée de Bonnières, une guepe est venue visiter l'intérieur de mon casque


Mon premier trajet hors de Paris en gros cube, début janvier avec mon CB500 acheté mi décembre, Paris Dijon par la route en solo (sortie de Paris par autoroute, je la ferais pas 2 fois celle-là!). 5h30, c'est mieux. Rien à noter sur l'aller, à part que c'est sur la N6 que j'ai appris à passer sur réserve en roulant. La BAR qui me suivait doit encore s'en souvenir!

Par contre retour sous la flotte, avec à peine plus de 0°, sur l'autoroute, mémorable! Changement de gants toutes les 100 bornes, les trempés étant accrochés à mon blouson et flottant derrière moi


Mon premier long trajet en moto, 6 mois plus tard, Paris Soulac par Bordeaux, 700km en solo (3/4 route, 1/4 autoroute), mais sans bagages. J'avais juste avec moi: le kit de réparation pneus, un pull, un change et ma trousse de toilette (s'il fallait que je dorme sur la route), un paquet de clopes, une bouteille d'eau et 3 gateaux. Là j'ai fait des expériences. La route bouchée par des travaux de coupe d'arbres, passage entre la machine et les arbres. La panne d'essence à 150 en 6eme sur une 4 voies, et comme mon compteur indiquait seulement 170 km je suis partie sur une procédure de recherche de panne, à m'orienter sur un éventuel changement de bougies sur le bord de la route, avant de tenter un passage sur réserve (plutot efficace il faut le dire), rejoindre Angouleme puis me retrouver à la recherche d'une station essence dans les quartiers résidentiels (

Pour le retour en direction de Dijon, j'ai opté pour passage par le Bac jusqu'à Royan, et trajet en 2 jours pour Dijon (800km), cette fois moto chargée (sacoche de reservoir, sacoches cavalières et sac à dos sanglé sur la selle passager). Points remarquables: le bac, où j'ai du rester à coté de la moto, comme ils n'avaient rien pour l'attacher, j'ai découvert que j'avais pas franchement le pied marin...


Depuis y'a eu pas mal de trajets de plus de 300km, avec moins d'apprentissages, à force on commence à en avoir vu pas mal. Y'a quand meme eu, en rentrant de Vendée, entre Tours et Chartres, un fort vent de travers. Avec Flamme Bike chargée, en solo, je faisais de écarts de 2 à 3 m en roulant à 60 km/h. J'ai fini par m'arreter, et commençais à réfléchir à un autre moyen pour rentrer à Paris, quitte à revenir chercher la moto plus tard. C'est là que j'ai pensé à démonter le saute-vent. Efficace, le vent prenait appui dessus, après je ne faisais plus que des écarts d'1m environs, c'était gérable.
Et y'a aussi eu un Dijon Paris par la route avec Flamme Bike, en solo, 35° à l'ombre. Ca aussi c'était sympa



Trajets prévus cette année: Tourist Trophy et Italie du Nord (avec les Alpes

En prévision pour plus tard: Ecosse, Corse, Pyrénées, Ardeche, ...
Et toujours des allers retours Dijon, Honfleur, et Cherbourg, mais je commence à etre rodée sur ces trajets

Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. (Fontenelle)
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