300 bornes avec ma nouvelle.......... paire de pneus
Posté : ven. 13 juin 2014 14:50
Bonjour à toutes et tous. 
Après deux trains de Batlax 023 (Brigestone)
et un train de Pilot Road 3 (Michelin) 
, rendez-vous est pris pour faire remplacer ces derniers par les mêmes, car j’avais beaucoup aimé les sensations procurées par ces pneus.
9h30, devant chez Dafy Moto Dardilly (Rhône), je discute avec un des vendeurs, qui s’étonne de mon choix et argumente en faveur des nouveaux Michelin PR4 :
Le freinage raccourci de 20% sur sec, 15% sur sol mouillé, au moins 1500 à 2000 km de plus avec les 4 par rapport au 3, tenue de route améliorée sous la pluie…
9h40, je rends les armes, il montera des PR4 sur ma moto. En plus, la différence de prix est négligeable : 11 €.
10h30, je reprends possession de ma moto, après avoir rédigé un chèque de 273 €,
et donc me voici sur la route.
Les cinq premiers kilomètres, rien de passionnant, un bouchon encombre l’autoroute jusqu’au tunnel de Fourvière. Je sors en direction de la Porte de Valvert, et là, première courbe importante. Je ralentis bien (pneus neufs obligent), surprise, la moto prends son angle presque toute seule, sans effort, bien plus vite qu’avec les PR3. Je sors de la courbe et là encore, la moto reprend la position verticale bien plus vite qu’avant, et vraiment sans effort.
Bon, première impression bonne, l’accroche a l’air bonne aussi (il faut dire que je roulais plutôt cool).
Je continue ma route en direction de l’A7 direction Vienne. Cette partie de ville est « Ch…te » car il y a toujours des stationnements en double file, un marché, des piétons partout,… donc, d’incessants changements de file, et là, j’ai vraiment la sensation d’avoir une moto plus légère (j’ai failli m’arrêter pour voir ce qu’ils avaient démonté à l’atelier). Je ne reprends pas l’image du vrai vélo
, mais vous voyez ce que je veux dire.
Ca y est, je rentre sur l’autoroute, et là, rien de nouveau sous le soleil de France, ça roule, rien à dire sur cette portion de trajet.
A partir de Vienne, la route devient plus intéressante. Départementale, pleine de virage, bosselés ou non, des côtes, des descentes, enfin de la route sympa
(ce n’est pas encore les cols Vosgiens ni les Alpes, mais on fait avec ce qu’on a).
A partir d’ici, je peux mieux me rendre compte de l’accroche irréprochable de ces pneus, j’ai l’impression de bien mieux maîtriser mes trajectoires, qui restent stables et régulières (pourtant je n’ai pas appris à « piloter » entre hier et aujourd’hui). La cause est extérieure à moi.
Vraiment, j’ai de très bonnes sensations avec cette monte.
Les enchaînements de courbes se font sans effort, et les basculements d’un angle à l’autre sont plus intuitifs. La confiance s’installe progressivement entre eux et moi. Dans les grandes courbes rapides, la trajectoire est stable, on se sent en sécurité, comme accroché à la route (je n’ose employer l'expression éculée (sans n) comme sur un rail ).
Il ne me reste plus qu’à tester sous la pluie. Bientôt
Quant à la durée de vie, rendez-vous dans six mois (15 000 bornes), je vous en dirais plus à ce moment-là.
Pour résumer, après seulement trois cent bornes, (et ce ne sont que « mes » impressions, « mes » sensations de nouveau motard (18 mois de permis seulement) concernant ce pneu), le premier mot qui me vient à l’esprit est :
« MAGIC » !
Après deux trains de Batlax 023 (Brigestone)
et un train de Pilot Road 3 (Michelin) , rendez-vous est pris pour faire remplacer ces derniers par les mêmes, car j’avais beaucoup aimé les sensations procurées par ces pneus.9h30, devant chez Dafy Moto Dardilly (Rhône), je discute avec un des vendeurs, qui s’étonne de mon choix et argumente en faveur des nouveaux Michelin PR4 :
Le freinage raccourci de 20% sur sec, 15% sur sol mouillé, au moins 1500 à 2000 km de plus avec les 4 par rapport au 3, tenue de route améliorée sous la pluie…
9h40, je rends les armes, il montera des PR4 sur ma moto. En plus, la différence de prix est négligeable : 11 €.
10h30, je reprends possession de ma moto, après avoir rédigé un chèque de 273 €,
et donc me voici sur la route.Les cinq premiers kilomètres, rien de passionnant, un bouchon encombre l’autoroute jusqu’au tunnel de Fourvière. Je sors en direction de la Porte de Valvert, et là, première courbe importante. Je ralentis bien (pneus neufs obligent), surprise, la moto prends son angle presque toute seule, sans effort, bien plus vite qu’avec les PR3. Je sors de la courbe et là encore, la moto reprend la position verticale bien plus vite qu’avant, et vraiment sans effort.
Bon, première impression bonne, l’accroche a l’air bonne aussi (il faut dire que je roulais plutôt cool).
Je continue ma route en direction de l’A7 direction Vienne. Cette partie de ville est « Ch…te » car il y a toujours des stationnements en double file, un marché, des piétons partout,… donc, d’incessants changements de file, et là, j’ai vraiment la sensation d’avoir une moto plus légère (j’ai failli m’arrêter pour voir ce qu’ils avaient démonté à l’atelier). Je ne reprends pas l’image du vrai vélo
, mais vous voyez ce que je veux dire.Ca y est, je rentre sur l’autoroute, et là, rien de nouveau sous le soleil de France, ça roule, rien à dire sur cette portion de trajet.
A partir de Vienne, la route devient plus intéressante. Départementale, pleine de virage, bosselés ou non, des côtes, des descentes, enfin de la route sympa
(ce n’est pas encore les cols Vosgiens ni les Alpes, mais on fait avec ce qu’on a).A partir d’ici, je peux mieux me rendre compte de l’accroche irréprochable de ces pneus, j’ai l’impression de bien mieux maîtriser mes trajectoires, qui restent stables et régulières (pourtant je n’ai pas appris à « piloter » entre hier et aujourd’hui). La cause est extérieure à moi.
Vraiment, j’ai de très bonnes sensations avec cette monte.
Les enchaînements de courbes se font sans effort, et les basculements d’un angle à l’autre sont plus intuitifs. La confiance s’installe progressivement entre eux et moi. Dans les grandes courbes rapides, la trajectoire est stable, on se sent en sécurité, comme accroché à la route (je n’ose employer l'expression éculée (sans n) comme sur un rail
).Il ne me reste plus qu’à tester sous la pluie. Bientôt
Quant à la durée de vie, rendez-vous dans six mois (15 000 bornes), je vous en dirais plus à ce moment-là.
Pour résumer, après seulement trois cent bornes, (et ce ne sont que « mes » impressions, « mes » sensations de nouveau motard (18 mois de permis seulement) concernant ce pneu), le premier mot qui me vient à l’esprit est :
« MAGIC » !
Ca c'est du compte-rendu!
. Très vrai 
Et encore,suivant l'utilisateur,le ressenti peut changer( 
